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Chez nous, les bleuets sont des fleurs, je pensais que tu récidivais. Une coupe comme ça, j'en veux bien !

Un vrai péché.., si tôt le matin!

Kikou !

Je suis persuadé qu'on peut la mettre en conserves cette recette ;)

Églantine, je sais et je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas faire un mélange de myrtilles et de fleurs de bleuet. Imagine la photo.

Diane, c'est sans gluten ni lait.

Vincent, de quelle manière ? Très intéressant, ton commentaire.

Tous les ingrédients de cette recette sont soit acides ou antiseptiques, sauf le romarin. Le reste des ingrédient vont le mater. :)

Si on suis exactement cette recette (important de cuire le romarin), il ne reste qu'à empoter en bocaux de un litre (ou moins) en suivant le procédé classique.

Une fois le bocal scellé, une simple ébullition de 10 minutes suffirait à assurer l'herméticité du bocal et à éliminer les micro organismes présents dans l'air au moment de l'empotage.

Mêm difficulté : cette année pas de myrtilles (même loin en montagne) sauf chez le marchand de baies au moins transgéniques, vu leur taille et leur couleur. Alors, je me contenterai de ta photo.

délicieuse coupe ! et les commentaires sont également interessants à suivre !

Vincent, je te remercie mille fois. Je vais mettre ton conseil en pratique en m'assurant d'avoir un vin qui va avec les bleuets. Imagine les cadeaux gourmands !

Gredine, le problème vient-il du temps atroce qui vous est tombé dessus ? Je sais qu'il y a deux ou trois ans passés, à la ferme Quinn, les plants avaient souffert d'hiver trop doux et pas de fruits l'été suivant. Bien sur, il y a les bleuets cultivés, mais c'est pas pareil.

Irisa, tu as bien résumé. Merci pour ta visite.

Tu sais Tarzile, je crois que ça irait bien avec n'importe quel cépage de cabernet franc ou de cabernet sauvignon cette recette.

Le vin d'Anjou est une AOC, je crois, et ils font bien des types de vins dans ces régions, du blanc , du rosé, et du rouge de bien des cépages, ben, je crois.

Je serais bien curieux de voir comment les saveurs vont se bonifier dans une telle conserves avec le temps. Moi d'instinct, j'y aurais ajouté une épice plutôt qu'une herbe, mais j'en apprends tous les jours.

Cette recette m'inspire et je dois l'essayer nature sans l'empoter.

Faut que je me grouille les bleuets tirent sur la fin...

je plongerai bien une petite cuillère discrètement, veux tu bien tourner le dos ?!
mon grand père faisait pareil avec des fraises des bois qe l'on cueillait sur les chemins avant toutes cette pollution; juste besoin de rincer à l'eau du puit, mmmmmm! où est donc ce temps béni

Hihi, l'éternel combat entre myrtilles et bleuets. Maintenant, quand je vois les photos du Québec, je comprends la différence entre bleuets et myrtilles. Vos bleuets sont gros et ronds alors que nos myrtilles sont plus petites, en tout cas dans la région où j'habite!

Ton dessert me tente bien!

Vincent, je crois que la cardamome serait bien avec le bleuet. Mais je surveillerais pour que la capsule ne prenne pas le dessus sur le vin. J'achète le cabernet sauvignon. Tant de choses à faire (et à déguster) et si peu de temps...

La soupe aux fraises. Je suis d'accord avec toi, Brigitte. Il est loin le temps où on ne s'inquiétait pas de la qualité de ce qu'on ingurgitait parce qu'il n'y avait pas vraiment d'inquiétude à avoir.

Lisanka, faut préciser le type de bleuet. Les bleuets sauvages sont petits et sucrés. Les bleuets de culture sont un peu plus gros et moins sucrés. Ceux qui proviennent de Californie sont gigantesques, on imagine sans problème. J'ai vraiment hâte de goûter la myrtille, pour pouvoir comparer la taille, la couleur, le goût.

Les bluets se sont des myrtilles ?

Fabienne, presque. Le bleuet du Québec est un cousin de la myrtille européenne (vaccinium myrtillus). En fait, le bleuet (vaccinium angustifolium) est une espèce indigène du nord-est de l'Amérique. Ils doivent donc se ressembler. J'imagine.

Ah, si seulement je trouvais des myrtilles.